Au mois de novembre dernier, Anne Hidalgo annonçait sa non-participation officielle aux élections de 2026. Depuis, la course à la succession est bel et bien entamée. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les différents candidats ne manquent pas de bonnes idées pour rallier les suffrages. Parmi les personnes en lice, l'écologiste Anne-Claire Boux, qui porte haut et fort un projet qui pourrait faire plaisir à certains : l’instauration d’un RSA spécial dédié à la jeunesse.
Redynamiser la jeunesse à tout prix
Parmi les points principaux que la candidate compte bien défendre si elle était amenée à représenter les écologistes ou, mieux encore, à s’installer à l’Hôtel de Ville : les conditions de vie des jeunes Parisiens. Et pour lutter contre les départs toujours plus nombreux des habitants de la capitale en raison du coût de la vie, Anne-Claire Boux entend bien mettre en place un système de RSA pour les moins de 25 ans, à hauteur de 400€ par mois. Un projet déjà évoqué en 2021 par le gouvernement, qui n'avait jamais abouti. Pour mettre en place cette mesure, elle imagine un déploiement progressif, visant dans un premier temps les 15 000 jeunes les plus précaires de Paris, avec un budget total de 70 millions d’euros sur l’opération. Une excellente nouvelle quand on sait que 25% des jeunes à Paris sont précaires.
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La santé, y'a que ça de vrai
Dans la même veine, elle envisage de faciliter le quotidien de tous les Parisiens grâce à la mise en place d’une mutuelle communale pour la ville de Paris, face à l’augmentation drastique des mutuelles ces dernières années (entre 6 et 8%). Un moyen pour elle de faire en sorte que les habitants de la Ville Lumière arrêtent de renoncer à se faire soigner pour cause de manque de rendez-vous, d’honoraires trop souvent dépassés – une mesure contre laquelle elle a déjà beaucoup lutté en tant qu’adjointe, en créant plus de 7 000 consultations supplémentaires dans des centres de santé – ou de mutuelle pas assez efficace.
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Faire de Paris la première ville écologiste de France
Pour améliorer nos conditions de vie, la candidate écolo mise bien évidemment beaucoup sur une politique plus respectueuse de la planète, aussi. L’objectif est simple : faire de Paris une ville viable pour les prochaines générations, quel que soit leur projet de vie. Pour cela, elle compte bien mener une transformation écologiste radicale, soit, mais accessible à toutes et tous. Un procédé qui passe donc selon elle par la santé et le niveau de vie, mais aussi l’éducation, le bien-être mental et physique, le logement… Un bien joli programme, qui risque d’en séduire certains, on en est sûrs.
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